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Paris Art Urbain : l'art urbain à Paris sous l'angle archéologique

collé le 04-03-2015 17:11

Vernissage de l'exposition personnelle de ME-Paris, Pop stories, chez Remix coworking, dès 19h (mercredi 4 mars 2015)

Vernissage de l'exposition personnelle de ME-Paris, Pop stories, 

 

mercredi 4 mars 2015, dès 19h

 

 

Exposition du 4 au 28 mars 2015 

 

Remix coworking, 12 rue des fontaines du temple P3 M° arts et métiers

 

 

 

 

Communiqué 

 

 Artiste et street artiste haute en couleurs, le rouge est son étendard, le cœur son blason. « Quand j’expose mes œuvres, je m’expose et donne mon cœur ». Et des cœurs que forment deux visages amoureux qui s’embrassent, elle en appose sur tous les murs de Paris, symboles du Ying et du Yang opposés et complémentaires, et ode à l’amour en clin d’œil au « liberté » d’Eluard.

 

« Le travail de Marlène procède par thèmes et séries tels que ses « Dîners Parisiens », ses « Eves », ses « Nus » et ses « Portraits ». Son univers coloré et tout en courbes fait écho à Matisse, Fernand Léger, au Douanier Rousseau et à Keith Haring, tandis que ses coups de pinceaux énergiques rappellent le dripping de Pollock. Elle se réclame des Nabis aux intenses aplats de couleurs, des Fauves, du Blaue Reiter et bien évidemment du Pop Art. 

 

"Elle y puise une forme d’idéalisme à l’esprit «Peace&Love» qui apporte à ses œuvres un regard d’enfant, un regard-prisme duquel sort en arc-en-ciel la lumière qu’elle perçoit. Marlène décompose en effet la lumière de ce monde en autant de couleurs qu’il existe de particularités, alternant alors thèmes, techniques de peinture et surfaces employées. Cette exposition POP STORIES souhaite rendre hommage à des icônes « pop » tels que des peintres, écrivains, poètes, musiciens et penseurs à l’âme tendre et révolutionnaire à la fois.

 

Ses peintures Paix, Shalom, Salam et Peace demeurent les fils conducteurs de cette exposition, ses figures quasi animistes ayant une fonction symbolique au milieu de messages à valeur universelle. La Paix inscrite en différentes langues rappelle également que de nombreux pays ne la connaissent pas. Marlène prend alors le parti du rêve et de l’idéal, de la nécessité de faire évoluer les pensées afin de tendre vers un meilleur monde. 

Son Arthur Rimbaud au visage lunaire semble être devenu le Petit Prince qui a grandi ; John Lennon et Yoko Ono, couple mythique ayant milité contre la guerre du Vietnam apparaissent en amants éternels sur fond de couleurs psychédéliques ; Simone de Beauvoir militante féministe et Nelson Mandela militant contre l’Apartheid se détachent sur le fond arc-en-ciel de la diversité à respecter.

 

Véritables animations visuelles de l’espace, les œuvres de Marlène Ehrhard promettent de plonger le visiteur dans un univers hétéroclite et surprenant, joyeux et amusant, pour le plus grand bonheur des grands enfants que nous sommes, au fond, un peu tous. »

 

Serena Bonomi-Karkour

Janvier 2015

 


 
 
collé le 28-02-2015 15:45

EXPO/VENTE "FRANCE LA HONTE, RWANDA 1994", au 100ECS, dès 18h30 (samedi 28 février 2015)

La Campagne de Portraits pour le Rwanda du CIIP ciblant les responsabilités françaises dans le génocide des Tutsi se prolonge en 2015, avec une première Expo/vente à Paris,

"FRANCE LA HONTE, RWANDA 1994", 

 

le samedi 28 février prochain, à 18h30

 

au 100ECS,

100 rue de Charenton, P12 M°Ledru-Rollin , Gare de Lyon

 

Soutien de Sortir du Colonialisme, programmée au sein de la Semaine anticoloniale 2015

 

 

Communiqué :  

 

La vente aux enchères est destinée à soutenir l'engagement de différentes structures (ou initiatives plus isolées) vis à vis du génocide des Tutsi. Notamment par rapport aux déplacements de témoins et soins psychiques-médicaux (apportant ici notre modeste contribution).

 

 

Elle se veut ainsi au profit/réparation pour les rescapés, familles de victimes, et femmes violées par des militaires de l'armée française durant le génocide des Tutsi.

 

Selon ses prérogatives, le collectif de soutien aux femmes violées en sera bénéficiaire, en partie, pour aider aux frais de justice (instruction au Pôle génocide à Paris). De même avec les rescapés des 13 et 14 mai 1994 à Bisesero (certains d'ailleurs rencontrés et interviewés, après Serge Farnel et Bruno Boudiguet, dans une moindre mesure par Matjules, en décembre dernier, au Rwanda).

 

Les oeuvres réalisées courant 2014, par des artistes venant de Londres, Rome, Bruxelles, Lille, etc... sont donc présentées au 100ECS à Paris, depuis le lundi 16 février dernier (l'intégralité à retrouver sur le site web du CIIP). Citons ainsi Dom Garcia, Edwige Dumoulin, François Betting, Fred Ebami, Jonk, Logick, Lou Hopop, Mê-ly Meôw, Mirko Colletti, et Nicolas Renard.

 

Un carnet d'acheteurs sur place vous permet dès maintenant de poser une option d'achat, en nous prévenant de votre visite à l'avance. Un accueil est assuré au 100 rue de Charenton, selon cette modalité (de 9h à 21h cette semaine, et à partir de 10h samedi).

 

Suite à des démarches auprès d'Adonis (comédien engagé), et Nicolas Ullmann (célèbre entertainer parisien), pour animer la vente aux enchères (tous deux d'accord sur le principe mais non disponibles), ce rôle sera certainement assuré par Mathilde Tixier (artiste pluridisciplinaire : poésie en musique engagée, du Cercle Pan, & des soirées du jeudi du Centre Barbara Fleury Goutte d'Or), revenant pour l'occasion, d'ateliers d'écriture dans les quartiers nord à Marseille, et aux Baumettes.

 

Une deuxième partie agrémentera l'évènement, sous forme de table ronde, ou discussion libre. Avec comme intervenant Luigi Elongui (journaliste à Afrique Asie et cofondateur de l'Agence d'Information) concernant les suites du génocide des Tutsi, au Kivu. Puis Camille de Vitry (auteur notamment du documentaire Le Prix de l'or, et de l'ouvrage L'Or nègre), sur les notions de Mafiafrique/Françafrique au Mali. Enfin Yves Mintoogue (historien) à propos de la résistance de l'UPC au Cameroun. De quoi faire un pont entre les différentes composantes du panafricanisme, notamment rwandaises, congolaises, maliennes et camerounaises.

 

Cet investissement à la fois artistique et politique fut initié par Matjules en 2014, ayant ainsi contacté plus de mille créateurs, à l'occasion des Commémorations des 20 ans de l'extermination, programmée, des Tutsi (s'étant soldée par plus d'un million de victimes en 100 jours, d'avril à mi juillet 1994, avec l'implication de la France, jusqu'aux fondements de la doctrine militaire stigmatisante, accompagnant la genèse du crime absolu ; et une participation sur le terrain, encore à évaluer, collectivement, et donc à l'écoute des premiers témoignages).

 

Le CIIP se base notamment sur les signaux d'alerte de Jean Carbonare, début 1994, puis les travaux de Francois-Xavier Verschave, Dominique Franche, Géraud de la Pradelle, la CEC, Jean-Paul Gouteux, Georges Kapler, Jacques Morel, Patrick de St Exupéry, François Graner, ou Jean-Francois Dupaquier, depuis plus de 20 ans ; et plus largement Survie, Izuba, Ibuka, France Rwanda génocide, le Criaeau... principalement concernant les complicités françaises (politiques, logistiques, financières, militaires...). Sans spécifier ici l'ensemble des circonvolutions et problématiques engageant certaines des parties citées.

 

Sur les recherches d'Annie Faure, Contre Viols Rwanda, comme les enquêtes de Serge Farnel, et Bruno Boudiguet concernant les participations françaises (viols de femmes par des militaires de l'armée française ; des militaires blancs tirant sur les Tutsi les 13 et 14 mai 1994 à Bisesero). Avec le soutien éclairé de La Nuit rwandaise, via Michel Sitbon, pour révéler les arcanes de ces mécanismes au pouvoir, sous Mitterrand. Et se prolongeant à travers le silence institutionnalisé, encore aujourd'hui, vis à vis de ces lourdes vérités.

 

Sur Matjules concernant le négationnisme à la fois en France et au Rwanda, à propos des participations françaises (travail encore resté confidentiel et inachevé).

 

Sur Gabriel Périès et la CEC concernant la doctrine de l'Ecole de guerre à Paris (stigmatisation d'un ennemi intérieur/extérieur, et programmation d'une guerre moderne, avec une population qui s'extermine via l'importation de l'ethnisme plaqué sur des groupes sociaux, durant plusieurs décennies - et les risques à venir, au combien inquiétants).

 

Enfin sur les études approfondies de Jacques Schaff concernant le négationnisme dans les manuels d'Histoire, vis à vis du génocide des Tutsi.

 

Le CIIP - http://collectifinnovationsilluminationspolitiques.fr/

E-mail : collectifillupolitiques@gmail.com - Twitter : @Illupolitiques

 

 

 

 

 


 
 
collé le 21-02-2015 14:04

Vernissage de l'exposition personnelle de Rizote, Cat, Le paris Urbain, 17-20h (samedi 21 février 2015)

Vernissage de l'exposition personnelle de Rizote, Cat,

 

samedi 21 février 2015, 17-20h

 

 

Exposition du 21 février au 14 mars 2015

 

 

 Galerie Le Pari(s) Urbain

51 Rue de L’Echiquier, P10, M° Bonne Nouvelle

01 42 46 37 84

info@leparisurbain.com

 

 

communiqué :

 

 La rue s'est vite imposée comme un médium privilégié pour Rizote. Et le graffiti est devenu un formidable moyen d'étendre le domaine des possibilités. Rizote a su se réinventer à chacune de ses interventions et appréhender le graffiti comme un univers ludique sans astreinte, ni limite. Une expérience sensible et sans cesse renouvelée d'une liberté qui se vit et s'exprime sans contrainte. 

 

C'est le graffiti comme expérience en marge que Rizote a choisi de raconter. Il a d'abord mis l'accent sur la quête, l'aventure et l'expérience urbaine qui font du graffiti un moyen singulier d'éprouver la liberté. Et par ce biais, il nous en dit un peu plus aussi sur le consumérisme et la marchandisation, sur la norme et l'interdit, sur les limites et la transgression. 

 

Texte: Amine Bouziane

 

 

 

 


 
 
collé le 13-02-2015 21:05

JBC fait le M.U.R. (samedi 14 février 2015)

JBC fait le M.U.R.

 

samedi 14 février 2015

 

le M.U.R., angle rue saint maur / rue oberkampf M° saint maur

 

 

 

 

 

 

 


 
 
collé le 13-02-2015 21:05

Vernissage-performance de l'exposition "CLOC" d'Anaïs Lelièvre, galerie 59rivoli, dès 19h (jeudi 12 février 2015)

Vernissage-performance de l'exposition "CLOC" d'Anaïs Lelièvre, 

 

jeudi 12 février 2015, dès 19h

 

Pour voir évoluer l'univers CLOC d'Anaïs Lelièvre : des dessins entremêlés de textes, des sculptures réactivables en performances, des photos et vidéos des actions, et une programmation de performances : les CLOCS à 19h (avec Ludivine Aboudou, Mariana Dubeux de Campos, Sarah El Hamed, Léone Gerber, Mairi Pardalaki, Daniela Rojas), suivis de deux performances conçues en échos par Baptiste Conte (Tiger Balm) et Coralie Hoareau (qui ont par ailleurs performé CLOC).

 

+ sortie du livre CLOC avec des textes de Ludivine Aboudou, Anne-Cécile Deliaud, Emilie Gateclou, Liliane Giraudon, Coralie Hoareau, Hektor Kafka, Anaïs Lelièvre, Susanne Müller, Julie Perin, Valery Poulet, Caroline Raab, Aurélie Romanacce, Claudine Roméo, Danielle Rousseau-Gopner, Valerie Tournier.

 

exposition du 11 au 22 février 2015 

 

 galerie 59rivoli, 59 rue de rivoli P1 M° chatelet

  

 

 

 Les CLOCS sont des sculptures-performances créées par Anaïs Lelièvre, artiste plasticienne. Les premières CLOCS ont été cousues en décembre 2012 et animées par des performeurs dès janvier 2013. Depuis elles se développent en se confrontant sans cesse à des situations nouvelles...

 

Les CLOCS sont des sculptures en métamorphoses incessantes, des performances improvisées qui interagissent avec tous contextes, des êtres indéfinis qui redécouvrent le monde hors des repères établis.

 

Les CLOCS sont des amas de vêtements usagés, cousus les uns aux autres par des liens élastiques, jusqu'à former une enveloppe que des corps en dessous revêtent comme leur peau et qu'ils viennent animer. Ces membranes relationnelles, plissées et imprévisibles, s'adaptent à des situations diverses, recréant chaque fois la surprise. Forme de vie en éclosion et en devenir, les CLOCS sont aussi une matrice indéfinie qui suscite chez les passants des réactions multiples. Elles surgissent au détour de ruelles et autres recoins quotidiens pour renouveler et interroger notre manière d'exister dans l'espace public, d'y rencontrer l'autre, et de cohabiter avec lui.

 

Pour présenter les CLOCS, cette exposition combine des textes, dessins, sculptures, photos et vidéos, qui en dévoilent non seulement les actions mais aussi les recherches, les retentissements et les évolutions.

Les CLOCS s'animeront le jeudi 12 février à 19h pour le vernissage.

 

Projet CLOC : www.anaislelievre.com/cloc.html 

 

 

 

 


 
 
 

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