cristal-arturbain

Paris Art Urbain : l'art urbain à Paris sous l'angle archéologique

collé le 27-05-2015 23:54

Vernissage de l'exposition personnelle de Nadège Dauvergne, Cabinet d'amateur, dès 18h (jeudi 28 mai 2015)

Vernissage de l'exposition personnelle de Nadège Dauvergne, Tout doit (va) disparaître

 

jeudi 28 mai 2015, dès 18h

 

 

Exposition du 28 mai au 10 juin 2015

 

Cabinet d'amateur, 12 rue de la Forge Royale P11 M° ledru rollin

 

 

Communiqué 

 

  Les œuvres présentées sont à la fois des détournements de pages publicitaires et de tableaux de la peinture classique. La figure d'un tableau, une Vénus par exemple, est sortie de son contexte pour être redessinée sur une page de catalogue. Ce nouveau fond n'est pas choisi au hasard mais doit ressembler à celui du tableau initial, la figure venant s'infiltrer sans difficulté dans son nouvel environnement. C'est un jeu d'association d'idées, un trompe-l'œil servant à questionner - non sans malice - les images du passé et celles d'aujourd'hui, notre rapport à l'argent et au sacré.

 

 

 


 
 
collé le 23-05-2015 12:47

Présentation de nouveaux pochoirs de Mimi le Clown, Cabinet d'amateur, 15-19h (samedi 23 mai 2015)

Présentation de nouveaux pochoirs de Mimi le Clown,

 

 samedi 23 mai 2015, 15-19h

 

 

Cabinet d'amateur, 12 rue de la Forge Royale P11 M° Ledru Rollin

 

 

 


 
 
collé le 23-05-2015 12:46

Vernissage de l'exposition personnelle de Clet Abraham, Jeux interdits, Galerie Artistik Rézo, 18-21h (vendredi 22 mai 2015)

Vernissage de l'exposition personnelle de Clet Abraham, Jeux interdits,

 

Vendredi 22 mai 2015, 18-21h

 

 

Expositionn du 22 mai au 10 juillet 2015

 

Galerie Artistik Rézo, 14 rue alexandre dumas P11

 

 

 

Communiqué

 

 Pour sa troisième exposition, la galerie Artistik Rezo présente « JEUX INTERDITS » , premier solo show de l’incontournable artiste Clet Abraham connu principalement pour ses détournements audacieux de panneaux de signalisation et qui ressent le besoin d’une expression artistique dans la vie quotidienne.

Avec « Jeux interdits », Clet décide d’explorer le monde des émotions et des frustrations, en affrontant différentes thématiques comme l’amour, le sexe et l’innocence. Tel un enfant dans un parc, l’artiste de rue utilise l’espace urbain comme aire de jeu, à la seule différence que les jeux d’adultes peuvent avoir des conséquences dramatiques. Il s’agit de mettre en discussion notre rapport aux tabous, jusqu’où peut-on pousser les règles et frôler l’interdit...


Sur l'artiste :

Breton d’origine, Clet s’installe en Italie il y a maintenant vingt ans. D’abord à Rome, puis à Florence, c’est là-bas qu’il développe, depuis quelques années, la forme de Street Art pour laquelle il est connu aujourd’hui. Pour lui, le dessin représente un véritable langage de communication universel, qui permet de synthétiser la pensée de manière visuelle. Il considère que l’art doit être utile, proche du public et simple, fait non pas pour s’autocélébrer, mais pour servir un contenu.

Après avoir recouvert toute l’Europe de ses stickers, de Paris à Londres, en passant par Amsterdam, Berlin, Milan, Barcelone ou encore Bruxelles, Clet est ensuite parti poser son oeuvre encore plus loin. D’abord à New York puis plus récémment à Kyoto et Osaka, où les autorités nippones n’ont pas toléré les détournements de panneau de l’artiste. Clet et sa compagne japonaise sont donc actuellement enlisés dans des problèmes judiciaires avec le Japon.

« Mon travail sur les panneaux de signalisation est illégal, je le revendique. Je voudrais ainsi faire observer que la légalité n’est pas une valeur absolue, qu’il y a des valeurs bien plus valides, comme le sens de responsabilité et le respect d’autrui. La loi est par définition toujours en retard sur la réalité et par conséquent elle ne peut pas s’imposer sans reconnaître sa composante de relativité. Nous sommes de plus en plus envahis par la signalétique; l’espace urbain délivre quantité de messages unilatéraux, certes utiles, mais pour le moins bêtifiants. Je voudrais qu’à l’unilatéralité du message soit substituée l’idée de réversibilité, qu’un sens nouveau s’ajoute au premier, orientant d’autres niveaux de lecture. L’œuvre d’art doit se rendre utile, elle doit donc savoir se mettre en relation avec les questions contemporaines populaires, sans cadre ni piédestal: lorsque la sacralisation disparaît, il reste la substance, si substance il y a. Mes interventions sont des provocations qui ont pour but de faire comprendre aux gens que l’art appartient à la vie quotidienne et qu’on doit s’efforcer d’avoir avec lui une véritable relation, non une approche superficielle, car l’art a toujours pour fonction de mettre à nu, de dévoiler des choses qui dérangent. Les autorités ont de fait beaucoup plus intérêt à protéger leur statut et leur rôle qu’à servir les citoyens. C’est ce que j’essaie de démontrer dans mes travaux. La culture et l’art servent à se poser des questions et à mener des réflexions; pour un pouvoir oligarchique qui cherche à contrôler d’en haut ce qu’il se passe dans un lieu, les premières choses à éliminer sont précisément la culture et l’art. C’est pour cela que de moins en moins de projets culturels de qualité, avec une vraie ouverture et un réel intérêt international, sont soutenus. » © Clet Abraham, Cassandre Horschamp, n°94, été 2013

 

 


 
 
collé le 20-05-2015 14:57

Vernissage de l'exposition personnelle d'Hopare, La Rue a du Charme, Espace Léon, 18-22h (jeudi 21 mai 2015)

Vernissage de l'exposition personnelle d'Hopare, La Rue a du Charme,

 

jeudi 21 mai 2015,  18-22h

 

 

Exposition du 21 au 24 mai 2015, 11-19h

 

Espace Léo, 68 rue léon frot P11 M° charonne, voltaire

 Contact Galerie 42b : Catherine Mikolajczak
catherine@42b-creation.com www.galerie-42b.com  +33 (0)6 81 01 17 81

 

 

Communiqué

 

 « La Rue a du Charme », titre de l’Exposition, décrit par l’artiste lui-même: « Je peins dans la rue depuis que j’ai 12 ans. Pour moi, la rue c’est un lieu à part, un lieu d’échanges, d’initiation et de vie. C’est de là que je puise toute mon inspiration. Ces dernières années j’ai été amené à beaucoup voyager pour peindre. J’ai rencontré des hommes, des femmes, croisé leurs regards, observé leur humanité. Et peu importe le pays, je m’en suis imprégné de toutes ces atmosphères, ces émotions vécues, de toutes ces rencontres pour pouvoir les transposer sur mes toiles.
Aujourd’hui, riche de tout cela, je rentre en atelier pour me souvenir et offrir en mai prochain ma vision de la rue, tout ce que j’y ai ressenti durant toutes ces années. Reproduire ce visage, ce mouvement dont j’ai hérité, cet univers et tout ce que j’ai pu y vivre. Rendre hommage à la rue et à tout ce qu’elle m’a apporté. La rue c’est une galerie…C’est ma galerie. La rue est tout simplement pleine de charme. »

Alexandre Monteiro dit Hopare

 

 

 


 
 
collé le 20-05-2015 14:57

Performances collectives, Street Art Evening, dès 18h (jeudi 21 mai 2015)

Performances collectives, Street Art Evening, organisées par My Web'Art

avec Lapin Thur, Olivia de Bona, Theo lopez, Stew

 

Jeudi 21 mai 2015, dès 18h30

perf dès 19h30

 

21 rue marignan P8

 

 

 

 


 
 
 

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