Portes ouvertes du Bloc,
Samedi 16 février 2013, 14-23h
le Bloc, 58 rue de la Mouzaia P19 M° pré saint gervais / danube 7bis
Extrait de l'article de l'Express qui lui est consacré :
http://www.lexpress.fr/actualite/paris-le-bloc-pepiniere-d-artistes_1220987.html
Samedi 16 février 2013, le 58 de la rue Mouzaïa, dans le XIXe arrondissement de Paris, ouvrira ses portes au public. Au premier abord, la vieille bâtisse grise ne paie pas de mine. Seuls les grands yeux rouges qui ornent son seuil peuvent mettre sur la voie. Cet ancien immeuble de la Drassif (Ancienne Direction des affaires sanitaires et sociales d'Île de France) est aujourd'hui métamorphosé en repère d'artistes. "On avait froid, on avait besoin de locaux pour créer. Et quand on est arrivé, c'était ouvert!" "Marco La Mouche", le référent du 6e étage, ne lâchera pas plus d'informations sur la reprise informelle du bâtiment. De toute façon, ce n'est pas la manière dont le squat s'est mis en place qui importe, mais bien ce qu'il abrite aujourd'hui: un incroyable espace de création, autogéré et partagé par des artistes de tous horizons.
Le Bloc, c'est 7000 mètres carré d'effervescence culturelle. 4 sous sols, 7 étages et le toit, une surface gigantesque entièrement dédiée à l'art, au sens large du terme. Des peintres, des sculpteurs, des photographes, des monteurs vidéo, des danseurs, des musiciens, des DJs, des acteurs, des graffeurs, des calligraphes... Mais aussi des menuisiers, des régisseurs lumière, des électriciens ou des plasticiens, entre autres. Les couloirs du Bloc regorgent de surprises. Entre ses murs, environ 180 créateurs vivent et donnent vie. "Ici les possibilités sont illimités, il existe une vraie synergie! C'est un bâtiment qui ne dort jamais." Tonio est installé au premier étage depuis un peu plus d'un mois. Son atelier est meublé d'un lit de camp et d'une petite table, mais ce sont ses dessins, sombres et houleux, qui habillent le local.
O'clock fait le M.U.R. XIII,
Samedi 16 février 2013, à 17h
le M.U.R. XIII, au pied de la passerelle Simone de Beauvoir.
Communiqué :
Dans une quête perpétuelle d'absolu et d'intégrité envers et contre tout(s), philanthrope trop souvent déçu devenu misanthrope, j'avance cahin-caha en territoire hostile, n'ayant de cesse de cultiver ma différence et de mettre un point d'honneur à conserver ma liberté de ton quelque soit ma casquette, garde-fou et symbole de ma singularité et de cette soif d'indépendance qui me caractérise.
Dôté d'un goût désuet pour l'authenticité et la culture intensive sans ogm de mes jardins secrets, je mefforce de rester à bonne distance de l'asservissement causé par la frustration, détonateur des maux de notre époque.
Toute la difficulté semble être de rester soi-même en conservant son libre arbitre et en restant indifférent à ce désir viscéral et pernicieux qui consiste à s'uniformiser pour se faire accepter.
Se soumettant de bonne grâce au joug déloyal du diktat imposé par l'univers marchand qui contamine la société de consommation en façonnant de toute pièces des nécessités illusoires
à leurs réels besoins vitaux, les masses se laissent volontier manipuler.
Elles sont victimes d'un cruel manque de discernement et de perspectives personnelles quasi-anéanties puisque liées depuis trop longtemps à l'occultation de leurs propres envies, de leurs idéaux, et avant toute chose de leurs rêves.
Ainsi on a l'illusion d'être un acteur de la société bien conforme et d'exister aux yeux des autres."
Performances d'artistes, dans le cadre de l'exposition, Enfant Soldat, à la Bellevilloise (vernissage vendredi 15 février 2013, à 20h)
Samedi et dimanche 16 et 17 février 2013
Point Ephémère, quai du canal Saint Martin M° Jaures / Stalingrad / Louis Blanc
Vernissage de l'exposition collective, Enfants Soldats,
Vendredi 15 février 2013, à 20h
avec les oeuvres de Thomas Mainardi, Doudou x Djalouz, Pearl, Iwo, Ernesto Novo, Socrome, Five, Caligr.
à la Halle aux oliviers de la Bellevilloise, 19-21 rue boyer P20 M° Gambetta / Ménimontant
Communiqué
Enfants / Soldats.
Deux mots qui ne vont pas ensemble mais qui pourtant sont malheureusement trop souvent associés.
300.000. Ils seraient 300.000 à être engagés encore aujourd'hui un peu partout dans le monde dans des conflits qui les dépassent, en République Démocratique du Congo, en Colombie, en Russie ou plus récemment au Mali ou en Syrie.
Depuis 5 ans, Univerbal agit pour dénoncer ce fléau à travers son programme Enfants Soldats Stop, et aide directement une ONG en RDC qui réhabilite des centaines d'enfants ayant déposé les armes : www.bves-rdc.org
Dans le cadre de la vente aux enchère au profit de SOS Racisme, au Palais de Tokyo, exposition du 15 au 18 février,
performance d'artistes brésiliens, Nunca, Alex Hornest, Ramon Baglione
sur un mur long de 23m, au 13 quai d'Austerlitz P13
Samedi 16 février 2013, dès 10h
Commentaires