Absent de Paris pour 15 jours, sans accès facile à internet, une petite pause dans la parution d'articles pour que vous ayez le temps de vous immerger das les profondeurs des archives de ce blog.
Photos de l'exposition chez Frichez nous la paix, dans le cadre du Festival d'art urbain, "Give me a wall, so i can escape", du 22 juin au 24 juillet 2010, dans deux lieux d'exposition de l'art urbain, Confluence et Frichez nous la paix.
Collage collectif par le crew UHU et ses invités.
Réunion d'artistes urbains actifs dans ke collage, le pochoir et certains le graph, et de photographes et bloggeurs d'art urbain.
Après le passage de la main d'or, tout le monde s'est dirigé vers le mur qui fait l'angle des rues candy et de la forge royale, à côté de la galerie Les Mots d'amateurs où sont présentés régulièrement des artistes urbains, tel Misstic, Paella, Hélène Lhotte ou proche, Mr Lolo.
Après la rue Candy, on est allé faire une recharge de colle, en trouvant de l'eau dans le jardin Louis Majorelle où les collages critiques étaient visibles. En remontant vers la rue de charonne, le groupe s'effilochait à mesure qu'on voyait des collages, des pochoirs, des céramiques et que tout le monde voulait les prendre en photo, enfin surtout les photographes bloggeurs... Zokatos s'impatientait légèrement... devant cette bandes d'élèves dissipés.
Passage de la main d'or
Photos prises le 30 mai 2010
Némi, les No Rules, Corps, Nath et moi étions les seuls rescapés de l'après-midi. Némi voulait aller sur le mur de la bouvier qu'il connaissait déjà et où il avait déjà collé quelques poissons.
Le long de la rue Saint Honoré, on rencontre sur notre chemin plusieurs des anges de Castelbajac.
Le nouveau numéro du magazine culturel, trimestriel et gratuit, Redux, le n°36, vient de sortir.
Concilier deux époques en une installation : l'art cinétique des années 70 et l'art urbain des années 2000.
Exposition Des Mots dans la Peinture, avec Paella (qui a son atelier au Frigos, P13), qui a réalisé des sérigraphie lors du vernissage.
Exposition personnelle d'un graffeur d'Iran
A1ONE (dire alone) se cache derrière son blaz et ne montre pas visage de peur de se faire arrêter en Iran, où il réside pârce que le street art y est interdit parce que considéré comme culture cocidentale et corruptrice. Voir dans le même sens, côté musique, le film "Les chats persans", sorti en 2009.
Après le saccage des nouveaux collages place Stravinsky, le 12 juillet 2010, de nouveaux artistes ont continuer de coller.
Plusieurs collages d'animaux sont apparus dans le Marais.
Nouveau magazine culturel gratuit, Popcorn Mag&Zine est plutôt une expo d'artistes sur papier.
Le mur de fond et les cheminées de la Place Stravinsky se raminent avec les collages posés ce week end entre le 10 et le 12 juillet 2010.
Ce week end, la place Stravinsky a repris des couleurs... urbaines. Est-ce le début d'une renaissance après le grand nettoyage et le vide depuis un mois entier?
Le festival des Cultures Urbaines, Give me a wall, so i can escape...,
Après avoir passé en revue la chronologie des collages et graph du mur de fond de la place Stravinsky, on passe maintenant à un autre endroit de la place, le minuscule bâtiment, le réduit, qui jouxte l’église saint Merry. Une espèce de ruine, qui reste entre d eux bâtiment, un immeuble d’habitation avec boutique en rdc et l’église saint Merry. Une verrue réinventée par l’art urbain.
Le 16 mars 2010
Sur le pan gauche, le collage d’une femme, par Shiz, du Royaume-Uni, posé par Urbanhearts, Street Art without borders.
Cela faisait longtemps que l'on n'avait pas vu les collage sde FKDL ert de Mimi le Clown.
Parmi ce mois de juin passé en bourgogne pour mes études, j'ai croisé quelques artistes à Montbard (Zouk sur cellograph, Atlas et ses bandes adhésives, SP38 et ses collages), voir l'article :
A l'occasion de la sortie d'un nouveau volume des collections Opus Délits (9.90eur),
Vernissage de la fresque réalisée par GLC, Gabri le cabri, et ONEA,
Expo collective, A l'arrache
du 1er au 24 juillet 2010
le festival Paris Hip Hop 2010 se déroule depuis le 22 juin jusqu'au 4 juillet 2010
Depuis un an, la place Stravinsky est devenu un lieu très actif de l'art urbain du centre de Paris, avec les collages d'artistes urbains et le collage régulier d'Urbanhearts.