Concilier deux époques en une installation : l'art cinétique des années 70 et l'art urbain des années 2000.
Un collage sur les barreaux de la grille du jardin Louis Majorelle, un collage, où chaque lamelle s'enroule sur un barreau pour consituter une figure visible suivant un angle particulier que l'on doit chercher. Ce n'est pas forcément en s'approchant de plus en plus près que l'on perçoit mieux le dessin...
J'adore l'art cinétique pour l'interactivité qu'il crée avec le spectateur qui n'est justement plus seulement spectateur mais acteur et crée l'oeuvre en bougant autour d'elle. C'est l'un de mes mouvements artistiques du 20ème s. préférés, avec le dadaïsme et ses collages (entre autre), l'expressionnisme allemand et le mouvement Fluxus.
Photos prises le 30 mai et surtout le 25 juillet 2010
Côté, rue de la forge royale
Des immeubles visibles
De face, une image éclatée
Côté, rue Delescluze
Une fenêtre fermée d'un immeuble en brique.
On a l'impression de regarder le reflet sur une flaque d'eau.
+ 2 petits collages, l'un avant le grand, un peu plus bas, l'autre sous le grand collage au pied de la grille
Détail de l'installation sur le barreau
Les petits collages plus bas
Des feuillages verts d'arbustes.
Un autre collage, à gauche de la porte d'entrée du principale du jardin, en plus mauvais état de conservation que les précédents, déchiré. Des bougies allumées au milieu d'un feuillage vert.
Côté, rue Saint-Bernard
Des bougies allumées au milieu d'un feuillage vert.
Les collages sont déchirés, mais il reste assez de papier vous voir le sujet.