posté le 07-03-2012 à 01:46:29
Vernissage de l'exposition personnelle "Paris Wood, naturellement urbain" d'Artiste Ouvrier (mercredi 7 mars 2012)
Vernissage de l'exposition personnelle d'Artiste Ouvrier "Paris Wood, naturellement urbain"
mercredi 7 mars 2012, à 19h
exposition du 28 février au 25 mars 2012
Centre musical Fleury Goutte d'Or - Barbara
1 rue Fleury P18 M° Barbes
M-S 11-20h
D 11-19h
Communiqué de presse :
CURATOR : Véronique MESNAGERContact : veronique.mesnager@free.fr Peintre au pochoir, ARTISTE OUVRIER se démarque totalement dans le mouvement « pochoiriste ».C’est avant tout un peintre qui dessine avec son scalpel des découpes-dentelle d’une grande finesse.Ses œuvres, toujours inspirées des figures de l’histoire de l’art (notamment de la fin du 19ème et des Préraphaélites) qu’il revisite à l’aide de modèles vivants, ou de sujets rapportés de ses voyages (Éthiopie et Inde) rendent un hommage onirique avant tout à la beauté, mais aussi à la nature et à la musique.« Je peins au pochoir sous ce pseudo depuis les années 2000.J’aime peindre sur les murs mais seulement sur invitation ou quand cela m’est autorisé.Les expositions sont pour moi essentielles car c’est par elles que je me fais connaître autant que par mes œuvres murales.Ce qui m’intéresse dans la pratique du pochoir, c’est la recherche du détail, la méditation sur la forme, le ciselage des matrices qui permettent ensuite de peindre et de combiner les formes entre elles.Ma première exposition a eu lieu en 1995 au Lavoir Moderne Parisien, à deux pas de l’appartement de mes grands-parents. Exposer de nouveau à «Barbès », c’est pour moi replonger dans les souvenirs transgénérationnels qui remontent aux Années Folles ».www.artiste-ouvrier.com "PARIS WOODNaturellement urbain !"« L’urbanité, c’est aussi l’art de vivre ensemble. L’art urbain, ou l’art aimable, ce serait donc amener l’art dans le contexte, qui peut être un quartier voué à la destruction, un mur, mais aussi dans les lieux d’exposition ouverts à tous. « Paris Wood » est une exposition sur toiles libres, comme évadées d’un mur imaginaire, venues se réfugier au Centre Barbara et s’exposer aux regards.Ces toiles sans châssis, mouvantes, composent à elles toutes une forêt urbaine par opposition au poncif de la jungle urbaine qui ne rend justice ni à la jungle, ni à la ville. Les arbres de Paris m’ont toujours inspiré car ce sont eux qui ont peuplé la terre bien avant les hommes. Cette forêt carnatique est un hommage à la musique du même nom, et bien sûr un clin d’œil à la communauté Tamil. Cette exposition puise aussi ses influences dans l’illustration en noir et blanc de contes fantastiques de la fin du 19e siècle en Angleterre, dans mon travail d’après photo et dans mes voyages en Ethiopie ou en Inde… »Artiste Ouvrier