les quais de seine du 13ème révèlent des surprises, comme cette série de dessins sur les murs (suite de l'article précédent ou suivant, ça dépend de votre sens de lecture du blog. en bas du moins)
un pan de mur en trapèze, en 3 parties, pour y asseoir plusieurs portraits qui font très icônes byzantines/orthodoxes. Impression d'une chapelle à ciel ouvert.
Partie gauche :
Un Picasso, comme me l'a présenté un des auteurs et comme le montre le titre inscrit sous le visage. Les traits géométriques, mélange d'angles et de courbes. Mais, on ne voit pas vraiment la multiplicité des angles de vue d'un même visage sur la même surface plane, qui était une des caractéristiques des visages cubistes de Picasso. Un portrait en buste, traits noirs, remplissage rouge estompé. pas de marquage particulier des yeux, ici.
en dessous du Picasso, une divinité, volonté de représenter une déesse de l'amour d'après les dires d'Ivan sur le dessin de David.
Titre du dessin de droite, la divinité : la plante de / l'amour
Un peu de mal à déchiffrer, on dirait qu'il y a eu des ratures.
Pan du centre :
Un christ barbu à couronne d'épines. Barbe marron, couronne noires comme le reste du visage. Moitié du torse dessinée, portant un vêtement à col rond.
A côté de Jésus : un homme à longue barbe, chevelure en auréole. Dans un cadre rectangulaire. Dessiné en rouge. Le côté icône ressort très clairement de ce dessin.
Sous Jésus et le saint, la Vierge, au visage desiné en rouge sauf le contour dessiné en bleu, comme ses vêtements et son voile sur la tête. Le buste est dessiné de façon très générale.
Pan de droite :
Un homme barbu
Une inscripton
En dessous, un personnage à tête rouge redessinée en jaune, chevelure/coiffe et corps entier avec bras et jambes (le seul de la série à être entier) verts. Il rapelle le personnage quasi effacé qui est juste sur la face d'à côté du même pilier.