le destin d'un collage, d'un graph etc : être affiché puis disparaître.
Les parapluies que l'Atlas a posé place de la Bastille commencent à perdre de leur vigueur, sous le flot répété des passants, des lavages des agents de la ville, des intempéries.
photos prises le 17 novembre 2008
Côté port de l'arsenal/opéra Bastille, devant la sortie de métro : le dessin subsiste, mais les bandes s'écaillent. j'adore la matière que ça produit.
Côté rue de la roquette : parapluie le plus dégradé, des lambeaux d'adhésifs partis, d'autres tournés.
Côté rue de la roquette, devant la sortie de métro : parapluie le plus intact de la place.